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29 avril 2009

Une poussière sur la toile

Dans l'univers infiniment grand du net, autrement dit "la toile", je viens mettre mon empreinte sur un tout petit espace: mon blog... une poussière!
Ma poussière sur la toile!
Il n'est pas simple de parler de soi... et bien prétentieux de faire de soi-même une description qui ne tombe pas dans l'orgueil de Narcisse... alors........à vous de commenter et de laisser un mot, une expression, une phrase, une image, un texte, une chanson, quelque-chose qui vous fasse penser à moi ou qui me définit !!
C'est dans le regard de l'autre que nous percevons notre propre image...

Lâchez-vous!!

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Commentaires
C
Salut ma belle ! Félicitations pour ton blog, il est super et ça fait vraiment du bien de retrouver ta plume. Un plus pour mon "sac à bonheur". Continues comme ça, c'est du délice.<br /> Bisous
M
Coucou Ma ptite Cathy ! Je suis trop contente que tu te sois lancée dans ton blog ! YES !!! En tout cas c'est superbe, j'adore tes 1ers articles, ils te ressemblent ... Continues de nous enchanter, surtout change rien :-) Gros bisous, et longue vie à ce petit coin de détente !
M
Hey,<br /> <br /> <br /> Bien que l’aube ait des couleurs de récifs hantés d’imaginaire, je n’ai aucun prétexte à t’écrire, encore. Je me suis promenée dans de vieux rires qui n’appartenaient qu’à nous, au long des lignes, au bout des papiers sans marge, je voulais soutenir l’impression que tu allais survenir ; il n’y a pas de passé aux souvenirs.<br /> <br /> Comme les années nous déguisent de superflu et pourtant, il y a ces endroits dans ma tête où tu ne viens plus marcher. C’est pas facile ma vérité, je voulais te dire ce qui s’est perdu dans les méandres, loin de ce que je croyais être des sentiments ; les gens qui se sont égarés, je ne sais même pas les regretter aussi bien que je te regrette, c’est ma faute. L’ultime saison où j’ai entendu les autres parler au-delà même du profitable, remonte à une demi-année, dans notre ridicule, j’ai oublié de croire que le temps comptait encore pour eux. Tu serais peut-être étonnée de savoir que les plus brefs comme les plus présents rayons de soleil se fanent. Dans le flou des apparences, j’oublierais presque les traits de leurs visages.<br /> Il me semble n’avoir pris que des faux départs depuis cette année, en septembre, où je t’ai laissé pleurer, moi qui ne l’avais jamais vraiment fait. Je souhaite sincèrement que tu ais pris ce qui restait le mieux, que lorsque tu fais un pas, tu sais où il te conduira. J’ai plusieurs fois rêvé que la coïncidence existerait, que j’arriverais à y accéder, que nous balayerions ce passé timide et si peu semblable à nos visions des choses actuelles, sans nul doute.<br /> <br /> Je voudrais te parler des heures, te dire « tu as vu ? », toutes les cinq minutes comme si on s’était engueulé la veille mais que rien n’avait changé du jour d’avant. Tu m’aurais fait rire, j’aurais à nouveau cru à des choses impossibles, sans mensonge. Mon seul regret de notre bout d’histoire, c’est que tu sois partie. Je sais qu’entre amis on peut se faire beaucoup de mal en s’attendant à un miracle qui ne peut plus venir ; je n’ai pas de regret que tout soit fini, parce qu’il y avait trop de « fausses vies » parsemées ici et là, tu m’as appris les mensonges, ceux qu’il faut prendre sans maudire, ceux qu’il faut dire sans attendre, et je n’ai pas peur de te remercier pour çà aussi.<br /> <br /> <br /> Bien que l’aube ait des couleurs de récifs hantés de paroxysmes, je n’ai aucun prétexte à les retenir, rien de plus.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Juin.5.1998<br /> 4K
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